samedi 26 octobre 2013

du côté des "petits candidats"

A côté des trois listes qui devraient aller au bout, certains "petits" candidats tentent d'exister. Jacques Perret, éternel candidat et éternellement seul, devrait avoir du mal à construire une liste. Il se réfère au poujadisme, une mouvance qui n'a plus présenté de candidats en France depuis 30 ans. Les jeunes Michaël Guijo et Bertrand Joly auront du mal à survivre politiquement sans le soutien d'aucun parti. Le premier a avoué pouvoir être sur n'importe quelle liste, ce qui démontre une grande souplesse idéologique. Le second est à droite, sans plus de précision. Enfin, le FN innove avec une liste mystère qui ne sera présentée qu'au tout dernier moment. Pas facile de faire campagne dans ces conditions...

jeudi 17 octobre 2013

JFN encore dans la course ?

Pour les amis de Jean-François Nicolas, la course à la mairie continue. Mais sans l'appui des militants socialistes, ce sera une course à handicaps...


Le 8 avril dernier, le Journal de Saône-et-Loire interviewait le maire d'Epinac, qui annonçait sa candidature à la présidence de la nouvelle communauté de communes.

JSL : Vous avez affirmé ne pas vouloir repartir pour les municipales à Épinac. Vous envisagez d’être candidat sur la ville d’Autun en 2014 ?

JFN : Non. Quelle légitimité aurais-je ? Pas plus que je n’envisage d’être à nouveau candidat aux sénatoriales comme on m’en prête l’intention. Élu président de la communauté de communes du Pays de l’Autunois Morvan, je ne serai plus que conseiller municipal à Épinac, élu au suffrage universel pour siéger à l’intercommunalité. Je laisserai aussi la place de conseiller départemental sur le grand canton du Nord Autunois et de l’Épinacois en 2015, pour pouvoir me consacrer pleinement à la présidence de la communauté de communes que je souhaite forte et ambitieuse.
Sachant ce qu'est devenu, dès le mois de juin, son premier engagement (ne pas être candidat à Autun), faut-il croire aux autres ?

lundi 14 octobre 2013

changement d'équipe

Anecdote. Jean Pasquereau figure dans le "noyau dur" des 7 principaux colistiers de Rémy Chantegros.
Il y a 5 ans, il était le n°7 de la liste de gauche menée par l'ancien Maire Didier Martinet.

Une réunion de lancement à Autun ? ou à Saint-Pantaléon ?

La première réunion de campagne du candidat de droite se tenait-elle à... Saint-Pantaléon ? ou à Autun ?

La question de l'ex-commune associée a-t-elle été évoquée ?

L'ancien député Anciaux, comme les élus d'opposition - et spécialement ceux qui participaient à la réunion - étaient très opposés à la disparition de Saint-Pantaléon. Gérard Martini plaidait, aux côtés de Claude Chermain, pour la défusion.



Le candidat Chantegros ne serait-il pas, lui, soulagé que le travail de fusion ait été mené par le maire actuel et qu'il n'ait plus à gérer cette épineuse question ?
Mais bon, comme dirait Monsieur Danjean, ne regardons pas dans le rétroviseur...

dimanche 13 octobre 2013

Chantegros and Co

Lancement de campagne pour Rémy Chantegros.

Des +

La démonstration que la liste bénéficie de soutiens en Saône-et-Loire, peut-être pour mieux montrer que le maire sortant, lui, en manque ?

Une équipe apparemment paritaire et cohérente.

Un attachement à l'Europe affiché, ce qui montre un certain courage par ces temps "populistes"

Des -

Une participation décevante : 130 personnes seulement

Des absences remarquées : la plus grande partie des élus de droite au conseil municipal et Jean-Paul Anciaux (le rétroviseur...)

Un thème unique - l'entreprise - qui peut repousser certains, car l'entreprise n'a pas toujours bonne presse (licenciements, maladies professionnelles, salaires des patrons...)

Un recrutement trop confiné au monde de l'entreprise et du sport

L'étonnant regret de ne pas avoir implanté un hypermarché régional à Bellevue, de quoi se mettre à dos illico les commerçants du centre ville...



samedi 12 octobre 2013

A qui le tour ?

Candidat médiocre aux législatives, Rémy Rebeyrotte a quelques dons en matière municipale... Les victimes se nomment Didier Martinet (2 fois), Jean-Paul Anciaux (2 fois), Claude Chermain et maintenant Jean-François Nicolas. Il ne reste plus que Rémy Chantegros en ligne de mire. La prochaine victime ? ou pas ?

vendredi 11 octobre 2013

Coup de tonnerre...

Le vote des militants PS d'Autun résonne comme un coup de tonnerre dans les contreforts du Morvan... Les trois sections réunies ont totalisé 33 votants. Sûrement y a-t-il eu appel à voter pour Mme Julien de la part du maire, exclu du PS. Mais le maigre score obtenu par Jean-François Nicolas (12 voix) sonne comme un désaveu cinglant... Pour le moment, sa candidature à Autun fait flop et il va lui être difficile de remonter la pente... A suivre...

en mai, ils étaient encore une vingtaine... (photo JSL)